Les Menstruelles

Présentation

Éparpillées partout : montagnes, villes, collines, campagnes, cabanes, caravanes, maisons, mouvements, bateau, vélo, camion, lisières, rivières, raconter, déballer un gros sac, poésies locales, paysages automatiques, récits polyphoniques, lectures érotiques, pensées, idées, histoires qui les rassemblent, échos à l’une, à l’autre, vivre l’ici, elles vivent l’ailleurs, envie d’écrire, envie de dire, envie d’ouïr. – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – Diffusions : Jet FM ( Nantes, 91.2) / Radio Méga (Valence, 99.2) / Radio d’Ici (Sud Pilat et bassin Annonéen, 105.7 / 106.6 / 97.0) / Radio Pulsar (Poitiers, 95.9) / Radio Saint-Ferréol (Crest, 94.2) / Radio Soleil 35 (Pays de Coglès, 95.3) / Radio Dragon (Trièves, Matheysine, Beaumont, Valbonnais, 104.4 / 96.8) / Radio Vassivière (Sud-Creuse, Haute-Corrèze, 88.6 / 92.3) / Radio Campus Toulouse (94) / Onde courte, la webradio du libre (ondecourte.fr)

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« Traduire. Écouter les murs. Les franchir… Qu’est-ce que ça veut dire ‘franchir’? Dépenser de l’énergie… comme de l’argent? Côtoyer. Côtoyer des visages. Côtoyer le hasard. Côtoyer le voisin. Penser. Penser au. Départ. ‘Visionnar o partido.’ Envisager… le départ.  » Ce mois-ci, on se questionne sur la sortie du confinement, et on a des invité(e)s… A l’intérieur de l’émission, découvrez les pièces sonores : Mon préféré poisson de Aude Rabillon. Tirésia – part 1 de Cabiria Chomel et Chloé Sanchez. Désordre salutaire, du hasard à l’entropie – expliqués par Fred Spoutnik et Jean-Marie Favreau. Montage de Iris Estival et Anais Denaux. Dragon-feu de Aude Rabillon.

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La mort s’apprivoise un peu et ne s’apprend jamais. Indépassable, terrifiante, quotidienne, féconde. Une histoire d’émotions et de chairs, de corps et d’autre monde. Un espace peuplé de nos amours et de nos songes, de notre tristesse et de nos larmes, de nos joies au goût de cendre.

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Le dernier épisode des menstruelles tout chaud sorti de nos fours intérieurs. La tête fume… les ordis aussi. Cloisons, jardins et fenêtres se confondent, devenant pâte à modeler, mouler, pétrir, projeter.

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Boire pour sortir de son monde, boire pour sortir de ce monde ? Boire pour être avec les autres. Boire pour rire, boire pour grandir. Boire pour plaire, pour aimer. Pour vivre ce qui bouillonne. Sauter, franchir, dégringoler. Courir, écrire, décrire. Sans limite, jusqu’à crever. Se vider, se remplir. Se cogner ? Année après année, soirée après soirée. Boire pour dormir, et puis se réveiller.

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 » A la rencontre des habitantes de l’île de Groix. Celles qui creusent. Qui travaillent. Qui inventent. Celles qui ont vu les bateaux disparaitre en mer. « 

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« Ce mois ci, on repart dans le monde du sommeil. Il y a eu l’envie d’interroger les rêves, ceux qui sont un peu particulier. Il y a des rêves qui après le réveil nous ont changé pour toujours. Ce sont nos rêves et les rêves des autres, des rêves glanés, rêves lucides, paralysie du sommeil. On aborde aussi les insomnies et la narcolepsie. Bonne nuit à tous. »

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